Et quel stress de voir les heures défiler lorsqu’on ne respecte pas ses fameuses nuits pleines…
Pourquoi insister, forcer un sommeil? Nous n’avons pas les mêmes rythmes, s’écouter est un premier pas sur le chemin de l’épanouissement.
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Il est trois heures du matin et vous fixez le réveil, les yeux grands ouverts, l’esprit alerte. Non, vous n’êtes pas insomniaque. Rien de plus normal, même. Car la nuit de huit heures d’une traite n’a rien d’obligatoire, ni même de normal. Avant la fin du XVIIe siècle, elle n’existait tout simplement pas, assure l’historien Roger Ekirch. Lire la suite sur books.fr