Les Hommes échangent des mots, depuis la nuit des temps. Au fil de l’évolution, les echanges se sont modifiés, en fonction de l’éducation, des croyances de soi, de la personnalité, des souffrances, depuis l’enfance, et le plus souvent très machinalement, sans penser un seul instant à l’impact ou à la force de l’énergie d’un mot, du « SON » créateur. Il n’est pas souvent pris le temps d’échanger vraiment un mot, une phrase, en toute conscience.
Il est essentiel d’échanger des mots sans « individualisme » automatisé, et en étant pleinement conscient de ce que va absorber celle ou celui qui écoute, et tenir compte des émotions de l’autre, et en s’écoutant consciemment prononcer soi-même les mots qui matérialisent les pensées, les émotions, les états d’Etre, les souffrances, ou même les idées subconscientes, parfois refoulées. L’on ne peut pas vraiment écouter une personne ou parler soi-même si l’on n’est pas conscient du moment présent, du sujet échangé, et des mots prononcés, et de l’energie engendrée.
Lors de mots échangés avec une personne, il est essentiel d’être lucide que ceux-ci ont une grande importance, autant pour celle ou celui qui les prononce, que pour celle ou celui qui les reçoit.
Chacun(e) devrait être à l’écoute de l’autre et tout mot devrait être considéré.
Chaque mot a son importance, son énergie, sa puissance, Le « SON » créateur, et aucun ne devrait être prononcé sans avoir conscience de sa portée et son impact dans chaque cellule, dans tous les corps, dans chaque infime part de son « entièreté » multidimentionelle, ainsi que de ses conséquences, parfois irréversible. Pas un mot ne devrait être plus haut qu’un autre et chaque parole devrait être conscientisée, entendue et écoutée.
Cela éviterait de nombreux conflits.
Dans cette nouvelle Ere, il est le temps où chacun(e) doit prendre conscience qu’un mot est une énergie puissante que chacun(e) propages, et qui a un impact sur l’autre, sur la Terre, sur le Monde, sur tout ce qui « Est », dans toute les multidimensions au-delà de l’espace-temps, ainsi que dans l’Univers.
Extrait du livre « Un Même Souffle »